L’étudiante fille au pair en Angleterre découvre l'éducation dite anglaise

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il y a 3 jours

J'ai 20 ans, je suis étudiante, et cette année je suis allée en Angleterre comme jeune fille au pair. J'ai perfectionné mon anglais, mais surtout j'ai appris ce qu'était l'éducation dite anglaise et aussi ce qu'était l'amour entre filles. Voici comment les choses se sont passées.

J'étais dans une famille de 4 personnes : Ian et Jane, les parents, la quarantaine, et 2 filles, Anabel, 18 ans, et Susan, 21 ans. Tous très gentils et je me suis aussitôt sentie à l'aise. Très vite j'ai remarqué que les parents étaient très sévères avec les filles qui avaient droit à de nombreuses réprimandes. A chaque fois elles étaient gênées, comme si elles allaient être punies. Mais il ne se passait rien. Je demandais des explications à Susan, qui me dit que je verrais ça samedi.

C'est comme ça que j'ai été invitée à assister à la séance hebdomadaire de punition des filles, le samedi après-midi, dans le salon.

Les filles parurent devant nous complètement nues, les mains sur la tête. Je ne pouvais m'empêcher de les regarder, elles étaient superbes toutes les deux, vraiment plantureuses. Elles ne semblaient pas gênées et me jetaient des coups d'oeil à la dérobée.

On commença par Anabel qui dut s'avancer. Son père lui rappela une à une toutes ses bêtises de la semaine. Sa mère en rajoutait et tous les deux faisaient la morale, comme à une gamine. Honteuse, Ana baissait la tête.

Puis ce fut le tour de Susan. Quand l'ainée s'avança devant ses parents, faisant ballotter ses rondeurs, je ne pus m'empêcher d'admirer les gros seins lourds, en poire, que la position mains sur la tête mettaient en valeur, avec leurs larges aréoles rose foncé. Même scénario. On passa ensuite à l'application des punitions. Une chaise fut placée ou milieu du salon. Anabel la première s'y installa, allongée sur le ventre, mains appuyées sur le sol. Sa mère se mit derrière elle pour tenir les jambes et prévenir toute ruade.

Dans cette position, la pauvre Anabel offrait son large postérieur d'une manière idéale. Elle aurait certainement à vingt ans le même développement fessier exceptionnel que sa sœur aînée.

Ian était armé d'une vieille tawse écossaise. Vieille, mais épaisse, aux trois longs doigts redoutables. On devinait qu'elle avait beaucoup servi. Quand le premier coup est tombé, j'ai sursauté presque autant qu'Ana. Très troublée, je ne pouvais pas m'empêcher de m'imaginer à sa place.

La correction a continué. Ian frappait méthodiquement, faisant uniformément rougir les belles fesses de sa fille. Anabel tressautait sous les coups et poussait parfois de petits cris, mais on voyait qu'elle avait l'habitude de prendre des corrections et ça ne devait pas être trop dur pour elle. Quand même, la punition terminée son postérieur avait pris de belles couleurs. Susan a pris sa place et elle a reçu elle aussi sa ration de coups de tawse. Elle pleurnichait, surtout vers la fin de la fessée car en tant qu' aînée, elle en avait reçu plus que sa sœur et moi j'étais de plus en plus troublée.

Après la correction, les filles ont été mises au piquet dans la cuisine, toutes nues, à genoux sur le carrelage, les mains sur la tête, le nez contre le mur, chacune dans un coin de la pièce. Leur mère a versé du talc par terre autour de leurs jambes.

Comme ça Si elles bougeaient, même très peu, on verrait la trace. J'ai trouvé ça astucieux. J'étais tellement excitée que je suis montée dans ma chambre pour me caresser. Je revivais la séance de correction, puis je pensais aux deux filles à genoux dans la cuisine.

Après deux heures de piquet, les filles ont été envoyées au lit jusqu'au soir. Les jours suivants j'aurais bien voulu parler avec elles de la correction qu'elles avaient reçues, mais je n'osais pas. La semaine suivante, j'ai expliqué à Ian et à Jane que j'étais très gênée d'assister à la punition des filles. D'autre part, j'expliquais que avais participé à plusieurs des bêtises qui leurs étaient reprochées, elles n'étaient donc pas les seules coupables.

Je m'y pris si bien pour les défendre que Jane me fit remarquer que puisque j'étais moi aussi coupable, je devais mai aussi être punie, ce qu'elle me proposa. J'hésitais un peu, puis je pris mes responsabilités et j'acceptais. Je me retrouvais donc avec Ann et Susan, le Samedi suivant, toute nue comme elles. Honteuse, j'essayais de me cacher derrière elles. Mais mon tour arriva et je dus m'avancer devant Ian et Jane.

J'eus droit à l'énumération de tout ce que j'avais fait de travers pendant la semaine, assorti d'une leçon de morale. La tête basse, je répondais " oui madame, oui monsieur". Pour la tawse, je passais la dernière. J'étais m o r t e de trouille, et j'étais aussi très excitée. Jane m'aida à prendre la bonne position, m'appuya sur les reins pour que je cambre bien les fesses. Le premier coup claqua. pas vraiment douloureux. Au fur et à mesure, je sentais mes fesses s'embraser.

Ca commençait aussi à faire vraiment mal, mais en même temps j'étais de plus en plus excitée, ça compensait. A la fin, je pleurais et je mouillais en. même temps. Après, je me suis retrouvée au piquet dans la cuisine. Nettement plus désagréable, avec le carrelage froid sous les pieds et les genoux, et l'impossibilité de bouger.

Après, comme Anabel et Susan, je me retrouvai au lit, rideaux tirés et lumière éteinte. J'étais allongée sur le ventre, vous comprenez pourquoi. Tou-jours très excitée, je commençais à me caresser. C'est alors qu'Anabel et Susan se glissèrent sans bruit dans ma chambre. Anabel se glissa dans mon lit, elle m'écarta les jambes et sa main remplaça la mienne.

Je ne pouvais pas protester, même pour la forme, car Susan avait collé ses lèvres sur les miennes et elle enfonçait Sa langue dans ma bouche. Jamais je n'avais connu ça. C'était divin. Je me laissais complètement aller, découvrant tout ce qu'une femme peut apporter comme plaisir à une autre femme.

Tout le reste de l'après-midi, Anabel et Susan s'occupèrent de moi. Je m'eff o r ç a is de leur rendre la politesse. J'ai une qualité, j'apprends vite. A partir de ce jour-là ,toutes les occasions furent bonnes pour nous faire des cochonneries ensemble. On s'embrassait, on se léchait partout, on se tripotait. C'était super. Anabel et surtout moi aussi. Souvent, après le tennis, avant de prendre une douche, on se léchait sous les bras.

Chaque samedi il y avait le cérémonial de la punition. j'y prenais de plus en plus de plaisir. C'est surtout l'humiliation que j'aimais, s'avancer toute nue devant le couple, mains sur la tête, les yeux baissé pour montrer son repentir. Même le piquet dans la cuisine, je m'y étais faite. Un jour, nous avons dépassé la mesure en allant faire des dégâts importants dans le jardin. La punition a été particulièrement soignée. Après une généreuse distribution de coups de tawse, il a fallu que chacune de nous se lève du tabouret, se courbe mains aux chevilles et tende les fesses pour recevoir six coups de cane. La cane était très rarement employée, mais qu'est-ce que ça fait mal! On a l'impression que ça coupe les fesses et on garde les marques une semaine..

Un soir, Anabel et Susan m'emmenèrent à côté de la chambre de leurs parents. Les bruits qui en sortaient ne trompaient pas. Jane était en train de goûter à la tawse. Par le trou de la serrure je la vis agenouillé sur le lit, chemise de nuit retroussée, présentant à son mari son énorme paire de fesses gigotantes, déjà très rouges, et comptant les coups en gémissant "Eleven ! Twelve !" elle compta jusqu'à "Forty". Jamais nous n'avions reçu 40 coups de tawse !

Anabel me raconta que sa mère était autant punie qu'elles, sans doute même plus, mais jamais en même temps. J'ai compris pourquoi quand j'ai entendu les coups cesser pour être aussitôt remplacés, après la rituelle demande de pardon, par des gémissements caractéristiques. On a écouté jusqu'au bout, en se caressant.

Mon séjour devait durer deux mais, mais j'ai finalement réussi à le faire durer presque quatre mois. Le dernier jour avant qu'on me conduise à la gare, j'ai emmené Susan et Anabel dans ma chambre et je leur ai " pris la température". C'est à dire que je leur ai enfoncé l'index, un pour chacune, bien à fond dans le derrière.

C'est elles qui m'ont appris à faire ça, entre autres cochonneries. Plus tard dans le train, les voyageurs devaient sans doute se demander pourquoi je reniflais sans arrêt mes doigts. Depuis, Anabel et Susan m'ont envoyé des photos de leurs culs, bien rouges après une correction. On ne voit que leurs fesses, mais je les ai reconnues tout de suite, je les connais par cœur.

J'attends avec impatience l'occasion d'un nouveau séjour. Pour plus tard, j'espère trouver un type à poigne qui soit capable de me visser comme je le mérite, de me donner fréquemment la fessée.

Comme me l'ont écrit Anabel et Susan, c'est ce qu'il faut aux filles comme nous.

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